Nous remercions la majorité des kinés, qui se sont exprimés sur divers votes, d’avoir compris que la problématique de cet avenant n’était pas que dans le calendrier des revalorisations (très insuffisantes) mais aussi le sacrifice des jeunes générations, la complexification d’une nomenclature obsolète, et un zonage que tous nos politiques considèrent eux mêmes comme inefficaces.
Forts de cela, nous nous devons d’être ambitieux pour notre profession et c’est à ce titre que nous demandons dès à présent la réouverture des discussions.